Echange WSOP Main Event contre DSO

Ben quoi ? 

Il est bien évident que je vais remporter le package WSOP Main Event gracieusement mis en jeu par chilipoker et le site parissportifs.com pour 1€, seulement hic il y a.

Pas prévu de poser dix jours de congés supplémentaires en juillet moi, sinon vu tous les dossiers du boulot que j'aurai à boucler d'ici mon départ, je risque clairement le burn-out(*) 
Bref, bref, my life toussa osef, il n'empêche que je l'annonce tout de go, j'échangerai le package du premier avec le package du second (pack DSO), plus un petit quelque chose à négocier genre % de gain en cas d'itm à Vegas (hé pas con non plus).
A moins bien sûr que les commanditaires de l'opération soient conciliants et me propose dans leur grande magnanimité d'échanger le package Main Event avec l'équivalent pour 2012, ou bien, allez je serai bon prince, un package Main Event pour le WSOP Europe cette année.
Il va sans dire qu'évidemment dans ce cas, j'accepterai bien volontiers une suite de catégorie supérieure pour compenser le prix du voyage A/R économisé :D

Quand bien même, mon incapacité à me rendre à Vegas en claquant des doigts m'ennuie un peu car Vegas représente pour moi, comme pour tout joueur d'occasionnel à professionnel, l'endroit de rêve pour s'adonner à sa passion du poker.
D'autant plus qu'une petite communauté de joueurs grenoblois y sévit actuellement, j'en profite d'ailleurs pour saluer l'énorme perf de Renaud 31ème lors de l'event #38, bloggeur à ses heures (quand il est à Vegas), je vous laisse découvrir son rêve éveillé sur son blog.

Et plus près de nous même si la Belgique c'est loin, un grand bravo aussi à Stefal qui décroche deux beaux packages live comme il les aime.

Pour en revenir à l'opération, voici la vidéo de présentation du tournoi :

Classement des sites de poker

Définition détournée:
(*)Burn-out: syndrôme pokeristique dont les causes restent méconnues, mais dont souffre la team Small Balloches lorsqu'elle est en période de bad run.

Bloggeurs bulleurs, revanche chez Marcico ?

Tout se perd dans ce bas monde, notre communauté de bloggeurs poker n'est plus protégée comme antan (de crise).

Ainsi un duo célèbre de bloggeurs vient de chuter lourdement lors de la demi finale du challenge DavidLWinner, duo qui avaient fait des siennes l'année dernière : souvenirs, souvenirs.

Alors voilà, le Doc du poker online Cartermd et moi même avons chû en position du con : lui à la bubulle et moi à la bulle de la table finale comme l'atteste cette funeste copie d'écran :

Pour faire court, on l'a in the baba(*).
Next challenge comme on dit (mais çà fait bien chier quand même).

Celà tombe bien, marcico4, un autre bloggeur organisateur de championnat online nous propose de clôre sa session 2011 par un tournoi réservé à nous bloggeurs.

Rendez-vous donc semaine prochaine pour tenter de décrocher le dernier ticket pour la grande finale 2011.

Définition détournée:
(*)Baba: gâteau imbibé de rhum dont on reste généralement stupéfait.

Impôt, 2 pots ... pas assez de pots

Arf ... encore obligé de payer mes impôts(*).

L'occasion était pourtant belle ce dimanche soir puisque la sallabrubru (non, non, je n'ai pas dit que sa copine du moment manquait d'hygiène), proposait de payer les impôts 2011 au vainqueur du Sunday Surprise.

Un joli pied de nez à l'état si tant est que nos législateurs éclairés décident d'imposer les gains poker à l'automne !

Je me suis laissé tenter par le challenge comme plus de 5500 joueurs, et j'ai bien cru aller très loin dans ce tournoi, comme l'avait fait Xewod lors d'un précédent Surprise.

J'échoue finalement dans les 250èmes pour un modeste gain de 25€.

Mais bon, en jouant sérieux (et en chattant pas mal aussi), j'ai pu suivre jusqu'à une heure tardive le triplé gagnant de la team SBO, performance annoncée ici et là.
Notre dé-colleur de tapis, aka Eric le Gum, clôture ainsi de fort belle manière une semaine plus que lucrative.

Encore deux semaines au mois de Juin pour les Small Balloches afin de consolider notre bankroll commune, en vue de nous offrir un beau tournoi live à l'automne.

Le DSO Paris est sur nos tablettes, mais point de date à l'horizon, quelqu'un aurait-il des infos ? Mr4B peut-être s'il passe par là ;)

Pour finir, une pensée pour un bloggeur que j'apprécie : Brduke échoue à la place du ch'con lors des quarts de finale de l'aventure DavidLWinner II, après une grosse désillusion lors du turbo live Poker Hero.

Définition détournée:
(*)Impôts: système d'équilibrage de l'énergie humaine : tribu prélevé sur l'activité des uns pour entretenir l'inactivité des autres.
Je ne résiste pas à vous recopier ici mes citations préférées traitant du sujet:
"Puisque les impôts ont une assiette, pourquoi mangent-ils dans la notre ?" - Alphonse Allais
"La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts" - Clémenceau"
J’ai déjà essayé de payer mes impôts avec le sourire. Ils préfèrent un chèque" - Jean Yanne
"Chaque fois que mon percepteur revenait, je payais un impôt sur le revenu" - Raymond Devos
"Le jour est proche où nous n’aurons plus que « l’impôt » sur les os" - Michel Audiard
"Si l’état créait un impôt sur la beauté, je serai exonéré" - Sim

Haka m'aime

Tu as remarqué lecteur ? je suis dans ma période sud-oce'

Le jeu de mot du billet Allah Rincevent (you're my god!) explique mon soulagement car je suis enfin parvenu à me qualifier pour les quarts de finale de l'épreuve DavidLWinner II.

Après deux suck-outs les As en main lors des deux premières manches qualificatives (mais pourquoi avec les As-perds-je(*)? ...), j'ai réussi à m'extirper du freeroll communautaire d'hier soir après 5 heures de lutte au milieu de plus de 250 adeptes du David.

Je termine dans le top10 en compagnie de cartermd et participerai donc au quart de finale dimanche prochain.

Au bout du bout de l'épreuve, un sponsoring online pour un cumul de plus de 800k€ de prizepool tournois.

Autre défi relevé en parallèle, une qualification au forceps pour la petite finale du COPOK (championnat online de Grenoble Poker, un de mes objectifs annoncé auparavant), ce sera pour lundi soir et il y aura 4 places en jeu pour la finale à 12, laquelle offre 2 packages pour le Winamax Poker Open de Dublin.

Beaucoup de beau monde attendu pour cette petite finale, le récent 4ème du WPT Venise Vieto, un shark-coach de Poker Academie LevietF0u, et un des 2-3 meilleurs joueurs de tournoi online sur winamax Kunkka (blog un peu maori blond lui aussi, c'est bien dommage). So, pas facile facile tout çà, mais en invoquant le pouvoir du dieu Suquahoutte, tout est possible sur (plusieurs) malentendus.

Tiens, en parlant de Grenoble Poker, je vous invite à rendre visite à deux olibrius du club actuellement en goguette à Vegas, leurs aventures et surtout leur plume valent le détour : blog de Renaud et blog d'Oliv.

Je ne peux terminer ce billet sans saluer la perf à 4 chiffres de l'ami SBO Gum qui continue sa belle semaine son cou fait rire (j'ai aussi son cou caille mais je le garde pour l'hiver celui-là ...)

Définition détournée:

(*)Asperge: poireau du riche.

La balade des bien burnés

Joli tir groupé en formation lors de notre session hebdomadaire en équipe Small Balloches, puisque nous faisons presque un sans faute : 3 sur 4 passent le jour 1 de l'Eldorado (tournoi en deux jours avec finale le dimanche soir pour un prizepool de 10.000€ garantis avec plus de 2.000€ pour le vainqueur).

Le vilain canard est votre serviteur, je me fais sortir en pensant craquer les As de mon adversaire, armé de ma double paire floppée, mais winamax river en décidera autrement.

Peu importe, la grosse performance SBO est peut-être pour cette semaine puisque Raulvolfoni et Kof reprendront le Day2 avec un tapis confortable, alors que Gum devra batailler en short stack.

Notre quatrième gladiateur, AnotherK le bloggeur maori blond, sera lui en course dans un tournoi à plus gros buyin, fort de son titre de Best SBO Performer du mois dernier, qui lui vaut un stacking de 50€ de la part de l'équipe toute entière, pour un swap "équipe" à 50% en cas d'itm.

Je le sens bien ce week-end, la bankroll SBO va péter un palier, toytoy(*) SBO !

Breaking news : bravo à Elky qui remporte son premier bracelet WSOP !!

Définition inventournée:
(*)Toytoy: expression du corps de ballet russe signifiant "vas-y mon coco, bonne chance".

Retour de minou

La célèbre team SBO était en course hier soir pour décrocher une place en phase finale du championnat Besteam Pokac.

Comme souvent, le calcul était simple, décrocher au moins deux tables finales pour assurer une des trois premières places en équipe.

Mes valeureux coéquipiers Kof et _Raoul4Gum_ (çà fait trop classe pro les pseudos avec un mix de lettres et de chiffres) ayant rendu les armes avec 25 points chacun, seule la victoire à 150 pts pouvait nous laisser espérer la qualification qui se joue généralement autour de 200 pts.

Après un tournoi assez facile bien aidé par une table peu résistante, j'arrive à basculer en table finale avec un tapis petit mais encore costaud.

Enfin costaud, disons qu'avec 10 blindes je suis "tranquillement" à la moyenne, la structure choisie n'autorisant pas la moindre fioriture dès les demi-finales ...

Jouant le tout pour le tout, je décide de call-boiter avec une demie-merguez à la cuisson avancée et à la connection douteuse (9Ts à pique), bref pas le move de l'année.

Làs, la big blinde se réveille avec une paire de moiselles peu farouches, en tout cas pas effarouchée par ma main ...

Mais la chatte est là, et c'est une double paire pour popo (je vous la fais à la ch'nord). J'attendais un gros coup de chance comme celui là depuis Mathusalem(*).

Chacun des joueurs de la table en reste coi voire dubitatif, notamment les 2-3 qui m'accompagnaient depuis le début et qui se refont le film de mes multiples vols et contre-vols non contrariés.

Evidemment l'image en prend un coup et je dois me rendormir en attendant les éliminations.

A 5 joueurs restants arrive l'énorme coup qui aurait dû m'assurer un chip lead sans doute décisif.

Je relance A3s utg+1 et suis payé par la grosse blinde, 2ème tapis à ce moment là alors que je mène la danse de peu.
Le flop me donne un tirage ventral sans As (J25 multicolore de mémoire), je checke prudemment comme mon adversaire.
Turn un 4 fait rentrer mon tirage et l'action s'emballe à tapis pour le mega chip lead, malheureusement vilain montre 36s pour quinte supérieure. Mais ouatte zeu feuque qu'est-ce qu'il fait là au flop avec 36s !

Bref gros coup derrière la tronche et je me retrouve short stack.

Pas grave, deux tapis plus tard, je suis de nouveau à flots soit 8 big blindes et M=5 lol

Deux entre-tueries plus tard, nous voilà à trois, et je recompte les points des équipes encore en course pour la qualification pendant la pause. A priori une deuxième place peut suffire mais seule la victoire assure le ticket.

Hélas, ma réserve de minou est épuisée, et une bataille de blindes fatidique AJo vs A7o aura raison de ma volonté de bien faire (un 7 tombe à la river).

+40€ mais j'aurai largement préféré qualifier la team.

Dernière chance ce soir GO GO GO SBO !

Définition détournée:
(*)Mathusalem: dénomination diplomatique pour qualifier l'Egypte sous la présidence d'Anouar El Sadate. En effet, lorsque le dirigeant égyptien se rendait en visite officielle, le protocole exigeait alors d'annoncer "le président Sadate de Mathusalem".

Sérendipité appliquée au poker

Allons, allons le lecteur s'endort par ici, réveilles tes neurones lecteur, il est l'heure de la minute culturelle !

Laisses moi t'introduire le concept de sérendipité appliquée à notre jeu favori, le poker.
Pour faire court à ce stade du récit, disons que la sérendipité appliquée au poker est l'art de trouver des mains improbables gagnantes à l'abattage en magnifiant le style calling station.

D'où me vient cet idée zarroïde me diras-tu ?

Elle est issue d'un long processus de maturation de pensée suite à un déchaînement de fishitude dont je fus victime récemment.

Juges-en, monsieur Big Fish nous empêche de jouer depuis une bonne heure et massacre les imprudents qui osent le contrer. Monsieur Big fish relance pré flop 8 big blindes 3 mains sur 4, et fait tapis à la 4ème lorsqu'un vilain a relancé avant lui, tout celà avec 150bb de profondeur.
1ère main, je touche les As, çà passe miraculeusement (les blindes sont 200/400) :

This Hand History Player is supported by http://www.myhands.com/

Main suivante, je touche les As (quoi, c'est louche ?), juste admires le move de monsieur Big Fish :

This Hand History Player is supported by http://www.myhands.com/

A partir de ce soir là, je pars à la recherche de la théorie ultime que le monsieur a certainement dénichée, et je la trouve avec ce concept de sérendipité.

Saches qu'au poker, tu sérendipites presque toujours en procrastinant, c'est essentiel et c'est la pierre angulaire de la théorie.
Et uuuuuiiiiii, remettre le fold à la carte suivante, il s'agit bien de procrastination, et ce faisant, quelque part tu sérendipites, puisque s'en savoir vraiment quelle carte tu cherches, tu farfouilles pour dénicher une main improbable.

L'art suprême consiste à finalement trouver la main magique à la river (ou avant, celà fonctionne aussi), et à infliger ainsi un des plus beaux suck-out possibles.

Pour aller plus loin dans le concept, je t'invite à méditer sur cet article traitant de la sérendipité, voire réfléchir à la remarque éclairée du premier commentateur de l'article, lequel prône une sérendipité sans procrastination (AMA Louis Pasteur était un crack au poker), considérant (*) non ?

[Edit]
Définition détournée:
(*)Considérant : se dit d'un type tellement abruti que tout le monde en reste ébahi.

New York - carnet de voyage #3

Avant de terminer ce carnet de voyage déjà repéré par un guide gratuit de New-York en ligne (voir le premier commentateur du billet précédent), je vais auparavant contenter mon ami belge Titi qui s'inquiétait de mon incapacité à toucher une nouvelle belle main au poker ;)

Voici une nouvelle quinte flush me permettant de déstaquer le vilain qui s'était accroché jusque là :

Mais revenons à nos oignons (de hamburger) et approchons nous des nuts au fil de mes impressions de voyage.

Impression carré:

Ce qui m'aura scotché, ce n'est pas tant la hauteur des grattes ciels  new-yorkais qui ont depuis longtemps perdu leur place au panthéon des plus hautes constructions humaines, mais plutôt l'architecture de certains d'entre eux, particulièrement remarquable.

J'en retiendrai deux, tout d'abord la plus haute tour du Rockefeller Center ci-contre. La vue au sommet (le Top of The Rocks) vaut le détour paraît-il même si nous avons préféré la montée à l'Empire State Building.

Le second que je pose ici porte le nom d'un probable candidat à la maison blanche cet automne, la Trump Tower.

En zoomant sur la partie basse, on se rend compte que les architectes ont carrément planté une forêt sur les terrasses des 20 premiers étages de la tour.

L'effet est assez sympa.

Impression quinte flush:

Toujours à propos de buildings remarquables, un détour s'imposait par Ground Zero et le chantier permanent qui y règne depuis la catastrophe.

Cinq tours sont en construction pour remplacer les immeubles détruits, la plus haute surpassera les tours jumelles en hauteur cependant son nom n'est toujours pas choisi.

Initialement elle devait se nommer Liberty Tower avant qu'un imbroglio avec des businessmen chinois souhaitant acquérir 20 étages d'un coup n'ait remis en cause ce choix ... business is business ... pauvre Amérique.

Nous avons visité le mémorial aux victimes du 11/9, ce petit musée laisse une impression de malaise que je ressens à chaque fois que je regarde ou lis quelque chose à propos de cette tragédie.

Malaise vis à vis des familles des disparus, et malaise plus grand encore en songeant à qui le crime a profité (je n'en dirai pas plus).

Ci-contre la sculpture présente en bas des tours jumelles, elle s'en est sortie presque intacte mais les impacts visibles nous replonge au coeur de la tragédie.



 

Impression quinte flush royale LES NUTS :
 

Je vais quand même terminer par une note positive sur la ville et le pays avec LE symbole immanquable, la Statue de la Liberté.

Pour la petite histoire, la genèse de ce monument est entièrement française puisque il s'agit d'un cadeau offert au peuple américain par la france. Ce que l'on sait moins, c'est que certains des mécènes français de l'oeuvre y voyaient un gigantesque bras d'honneur aux dictatures européennes de l'époque, la liberté vous salue de l'autre côté de l'Atlantique !

Dernier cliché et c'est incontestablement les nuts de ce voyage trop vite achevé, il s'agit tout simplement de la vue de notre fenêtre de chambre d'hôtel.

Chaque soir nous admirions l'Empire State illuminé et chaque matin ce même haut lieu New-Yorkais nous saluait au saut du lit, elle est pas belle la vie à New York(*) ?

Définition détournée:

(*)New York : Ville réputée pour ses grattes ciels. On en compte une centaine et des poussières...

New York - carnet de voyage #2

Hop hop hop, après une bonne giclée de Pandaranol, je me suis replongé dans le tri de mes photos de New-York.
Nous en étions à la double paire, passons donc au ressenti supérieur.

Impression brelan:

Il est bien connu qu'aux stètsssses nous sommes au pays de la démesure, j'ai pu le vérifier à Times Square et particulièrement dans le magasin Toys R Us, dont je t'avais déjà donné un petit aperçu jurassique.

Débarqué dans ce temple à gosses pour faire le plein de BeyBlades Metal fusion et autres Barbies Ken-entichées, je me perds dans les rayons de jouets tous plus extravagants les uns que les autres. Un truc étonnant parmi d'autres : les mini-drones téléguidés qui volent au dessus de nos têtes dans tout le magasin ...

Et puis au dernier étage, je tombe sur ce baby foot collector à côté de la maison de Barbie, jettes un oeil sur le prix c'est just-ouf!

Plus classique mais tout aussi gigantesque, la gare centrale de New York appelée de manière très originale Grand Central Station.
Pour la petite histoire, c'est Jackie Kennedy qui l'aurait sauvée de la destruction par amour pour son architecture intérieure.
Avis aux amateurs d'huîtres également, le sous-sol renferme un restaurant de spécialités de la mer renommé pour ses huîtres servies à toutes les sauces.

J'avoue qu'au niveau huître, une soudaine poussée de rhume des foins m'avait déjà offert ma dose pour le séjour ...

Impression quinte:

... et oui moi et la nature, c'est une longue histoire emplie d'éternuements, si bien que ma femme m'a trainé à Central Park de force comme un escargot dégoulinant.

Mais une fois arrivé dans le poumon vert de la grosse pomme, on se retrouve dans un autre monde, et parcourir les différentes parties du parc est un vrai plaisir.

Un autre parc moins connu et bien plus petit, mérite aussi le détour, il s'agit du parc Madison Square.

Son intérêt ne réside pas dans l'espace vert en lui même, mais plutôt par ses alentours  avec notamment le Flat Iron building à l'angle de la 5th Avenue et de Broadway (le fameux fer à repasser).

A l'intérieur du parc nous avons également dégusté le meilleur burger de la ville au snack "Shake Shack".

C'est bien la première fois que je me tape 45 minutes de queue + encore 20 minutes d'attente pour bouffer une tranche de vache entre deux pains ...

Impression full:

Le "diner" fini, c'est parti pour la remontée de Broadway vers le nord pour rejoindre la 7th Avenue, avec en ligne de mire les lumières de Times Square.

C'est là que bat le coeur de New-York (et que se secoue la biiiiipte du FMI Chief).

Le spectacle est partout, dans la rue aussi bien que dans les théatres et les salles de concert, this is THE place to be.

Moins bling bling, plus authentique et historique, la visite du musée des émigrants américains est aussi un moment fort à ne pas manquer (IMO).

Cette île musée (Ellis Island) retrace pas à pas le parcours des émigrants pour gagner leur ticket d'accès vers le nouveau monde.

L'espoir d'une vie meilleure, le rêve de liberté ressenti par tous les étrangers arrivant en baie de New York au cours des siècles, tout leurs sentiments sont palpables au fur et à mesure de la visite du musée.

Et ce n'est pas Théodore Roosevelt qui me contredira.

Pour la grande Histoire, ce Roosevelt(*) là guida l'état de New-York lors du passage au 20ème siècle.

Définition détournée:

(*)Roosevelt: premier président américain roux adepte des régimes.A propos des roux, Desproges disait "On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère".