New York - carnet de voyage #2

Hop hop hop, après une bonne giclée de Pandaranol, je me suis replongé dans le tri de mes photos de New-York.
Nous en étions à la double paire, passons donc au ressenti supérieur.

Impression brelan:

Il est bien connu qu'aux stètsssses nous sommes au pays de la démesure, j'ai pu le vérifier à Times Square et particulièrement dans le magasin Toys R Us, dont je t'avais déjà donné un petit aperçu jurassique.

Débarqué dans ce temple à gosses pour faire le plein de BeyBlades Metal fusion et autres Barbies Ken-entichées, je me perds dans les rayons de jouets tous plus extravagants les uns que les autres. Un truc étonnant parmi d'autres : les mini-drones téléguidés qui volent au dessus de nos têtes dans tout le magasin ...

Et puis au dernier étage, je tombe sur ce baby foot collector à côté de la maison de Barbie, jettes un oeil sur le prix c'est just-ouf!

Plus classique mais tout aussi gigantesque, la gare centrale de New York appelée de manière très originale Grand Central Station.
Pour la petite histoire, c'est Jackie Kennedy qui l'aurait sauvée de la destruction par amour pour son architecture intérieure.
Avis aux amateurs d'huîtres également, le sous-sol renferme un restaurant de spécialités de la mer renommé pour ses huîtres servies à toutes les sauces.

J'avoue qu'au niveau huître, une soudaine poussée de rhume des foins m'avait déjà offert ma dose pour le séjour ...

Impression quinte:

... et oui moi et la nature, c'est une longue histoire emplie d'éternuements, si bien que ma femme m'a trainé à Central Park de force comme un escargot dégoulinant.

Mais une fois arrivé dans le poumon vert de la grosse pomme, on se retrouve dans un autre monde, et parcourir les différentes parties du parc est un vrai plaisir.

Un autre parc moins connu et bien plus petit, mérite aussi le détour, il s'agit du parc Madison Square.

Son intérêt ne réside pas dans l'espace vert en lui même, mais plutôt par ses alentours  avec notamment le Flat Iron building à l'angle de la 5th Avenue et de Broadway (le fameux fer à repasser).

A l'intérieur du parc nous avons également dégusté le meilleur burger de la ville au snack "Shake Shack".

C'est bien la première fois que je me tape 45 minutes de queue + encore 20 minutes d'attente pour bouffer une tranche de vache entre deux pains ...

Impression full:

Le "diner" fini, c'est parti pour la remontée de Broadway vers le nord pour rejoindre la 7th Avenue, avec en ligne de mire les lumières de Times Square.

C'est là que bat le coeur de New-York (et que se secoue la biiiiipte du FMI Chief).

Le spectacle est partout, dans la rue aussi bien que dans les théatres et les salles de concert, this is THE place to be.

Moins bling bling, plus authentique et historique, la visite du musée des émigrants américains est aussi un moment fort à ne pas manquer (IMO).

Cette île musée (Ellis Island) retrace pas à pas le parcours des émigrants pour gagner leur ticket d'accès vers le nouveau monde.

L'espoir d'une vie meilleure, le rêve de liberté ressenti par tous les étrangers arrivant en baie de New York au cours des siècles, tout leurs sentiments sont palpables au fur et à mesure de la visite du musée.

Et ce n'est pas Théodore Roosevelt qui me contredira.

Pour la grande Histoire, ce Roosevelt(*) là guida l'état de New-York lors du passage au 20ème siècle.

Définition détournée:

(*)Roosevelt: premier président américain roux adepte des régimes.A propos des roux, Desproges disait "On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère".